La Moins Bonne de tes copines

Ce jour où j’ai réfléchi à avoir des enfants

24 réponses

  1. Christelle dit :

    Houlala!! J’en ai tellement a dire a ce sujet!! Je suis parfaitement d’accord avec ce que tu dit! On nous parle pas de tellement de choses qu’on est pas préparer a devenir parents! Je suis maman aujourd’hui et j’en suis très heureuse c’est vraiment un bonheur mais oui effectivement c’est difficile et c’est aussi une épreuve pour le couple et ça c’est tabou et je comprend pas pourquoi!!

  2. Laura dit :

    Perso plus le temps passe moins j’ai envie d’enfant voir plus du tout. Pourtant à 25 ans je voulais trop 2 amies à moi ont 1 enfant et même si elles aiment leurs enfants si c’était à refaire bah pas sûr de faire d’enfants.
    Mais la société juge trop le fait que nous ne voulons pas d’enfants ou que nous n’en avons pas.
    Avec un enfant je trouve que on perds toute liberté qu’un homme lui la garde au contraire. Puis quand je vois la vie évoluer bah un enfant ça ne coûte plus qu’un bras mais les jambes avec lol

  3. Merceron dit :

    J’écoute ton podcast tout en ayant en construction deux petits êtres qui grandissent en moi. Je suis comme toi entourée d’amies qui ont toujours été très honnêtes sur la maternité et j’ai aussi parmi ces amies celles qui n’en veulent absolument pas. Je fais partie de celles qui ont toujours voulu être maman, durant mes longues années de célibat (plus de 8 ans), j’ai même commencé les démarches pour avoir un enfant seule. Je ne me l’explique pas vraiment, c’est quelque chose en toi que tu sais, dû à l’éducation, les injonctions, la société, je ne sais pas du tout. C’est simplement qlqch que tu ressens profondément. J’ai pourtant adoré moi aussi ma liberté durant ces dernières années, la possibilité de faire ce que tu as envie au moment où tu en as envie. Je suis tout à fait consciente que cette partie de ma vie est complètement terminée mais j’estime en avoir suffisamment profité et être arrivé “au bout du kiff”. Je sentais l’envie de vouloir partager ces moments avec l’être aimé et une potentielle famille. En revanche, j’ai probablement idéalisé tout ça dans ma tête car force est de constater que la grossesse je ne la vis pas du tout comme je l’avais imaginé (genre en symbiose avec le futur papa). La preuve que parfois on imagine vivre une belle aventure (rêvée et donc encore une fois p.e trop idéalisé depuis longtemps) et la réalité nous rattrape un peu …
    Je ne sais pas ce qui m’attend, pleins de choses me font extrêmement peur, je pars dans une vie que j’ai l’impression de connaître (de par mes amies, ma soeur, bref l’expérience partagée des proches) mais au final c’est l’inconnu total. Je sais aussi comme tu disais que ce qui m’attends sera aussi difficile que galvanisant, et j’ai hâte de vivre ce fameux amour inconditionnel que l’on est capable d’avoir que pour ses enfants selon moi.
    Je m’arrête là mais au final il y a tant à dire… Bref je fais partie de ces femmes pour qui la maternité était un rêve, et je le touche des doigts malgré des difficultés rencontrées pas vraiment anticipé.
    Belle journée à toi et merci pour tout ce que tu nous propose❤️

    • J’adore ton retour ! Comme quoi, on idéalise souvent beaucoup de choses et finalement la réalité est tout autre, ce qui ne veut pas dire moins bien !
      J’ai hâte pour toi ! plein de bonheur <3

    • GENDRAULT Laetitia dit :

      Courage Merceron, je me reconnais presque dans ce que tu écris. Pleins de bonnes ondes… pour les loulous, pour toi et ton homme.
      J’espère que les problèmes que tu laisses entrevoir ne viendront pas ternir ce bonheur de la maternité que tu vas vivre.
      Penses à toi et à tes bébés. Soit forte pour toi et pour eux, tu les as tant attendu !

  4. Lalouvequilit dit :

    J’avais tellement envie de te faire un vocal pour te répondre haha !

  5. Camille dit :

    Tellement difficile tout ce qui touche à la maternité, après ma première je ne voulais pas d’autre enfants car accouchement et post partum très très compliqué, puis je suis tomber enceinte de mon deuxième par surprise, j’ai accoucher il y a deux mois et j’ai déjà envie d’un petit troisième tellement l’accouchement et le post partum a été différent du tout au tout. Je ne regrette pas du tout mes enfants mais ma vie d’avant et la liberté qui allait avec me manque énormément, c’est un vrai don de soi que de ce mettre au monde et d’élever des enfants, j’ai rien trouver de plus prenant viscéralement que d’être maman. La maternité c’est beau, c’est dur c’est chiant aussi mais c’est un amour inqualifiable. Que les femmes actuellement ce pose la question de vouloir ou non des enfants c’est vraiment génial car malheureusement nos grand mère n’avais pas franchement leurs mots à dire à l’époque. Dans les deux cas d’en vouloir ou non temps que le choix est fait en pleine conscience alors c’est forcément le bon.

  6. Gold Victoria dit :

    Sujet de ouf !
    Moi 32 ans et sûr de chez sur que j aurais pas d enfant ! NEVER 🤣

    Super sujet merci Nono 💙

  7. Marjorie dit :

    Bonjour Nono,
    Y’a tellement de choses à dire sur ce sujet…
    Perso, j’ai pas toujours eu envie d’avoir des enfants. Quand j’étais gamine, je rêvais d’en avoir 2 : des jumeaux, 1 garçon et 1 fille. En grandissant, l’envie de toute maternité est partie puis un jour, c’est venu me frapper en pleine : je voulais un enfant genre un vrai besoin vital qui te prend aux tripes ou tu chiales à chaque fois que tu vois une goutte de sang dans le fond de ta culotte. Et puis, c’est arrivé et là j’avoue, j’ai déchanté… J’ai détesté être enceinte. Mais vraiment. J’avais pas de copine déjà maman, pas de soeur, ni de cousine… Donc aucun retour d’expérience. Je me suis retrouvée à détester être enceinte, l’impression de ne plus rien contrôler (sans parler des nausées, fatigue, insomnie, examens médicaux, prise de sang, « je peux toucher ton ventre »…) J’avais juste envie que tout s’arrêter (enfin dans le sens, vite j’accouche hein pas perdre le bébé). J’avais hâte d’avoir enfin mon bébé et en même temps une peur immense de l’inconnu. Mais j’avais envie aussi de ce moment où tu prends ton enfant dans tes bras pour la 1ere fois, l’émotion tout ça… putain l’accouchement a été le pire jour de ma vie, tellement que j’en ai aucun souvenir si ce n’est la douleur et ce que le père de ma fille m’en a raconté. Et la, le drame : aucun instinct maternel, rien me paraissait naturel, je pleurais tout le temps, je me demandais pourquoi j’avais fait ça… je me sentais pas à ma place, ma fille était une inconnue pour moi. Et puis les jours, semaines, mois ont passé, on a appris à se connaître, j’ai appris à être maman… et bordel 8 ans et demi d’amour maintenant. Ça n’a pas été facile au début mais maintenant on est fusionnelles à l’extrême et pour rien au monde je reviendrais en arrière. En vrai, l’amour que t’as pour ton enfant bah c’est plus que de l’amour, y’a pas de mot qui existe, c’est dans les tripes, ça s’explique pas. C’est merveilleux et en même temps ça te donne le vertige. Alors oui ta vie change, oui t’as plus ta liberté, oui c’est hyper angoissant, charge mentale de fou mais bordel que c’est bon tout ça. Ah et on devient bipolaire aussi 🤣 Ils te rendent ouf, t’as envie qu’ils aillent dormir et quand ils dorment tu vas les voir et tu pleures de te dire que ton corps a toi a créer ces merveilles 🙈 J’aime ma fille plus que tout. Si je pouvais revenir en arrière en sachant ce qui m’attend, je le refais sans hésiter mais si je sais pas, si j’ai pas le souvenir de ma fille, je ne referai pas d’enfant. C’est d’ailleurs pour ça que je m’arrête à 1. C’est à cause du monde dans lequel on vit… mais en même temps je me dis que les gens « bien » doivent se reproduire pour continuer la lignée des gens bien 🤣 De toute façon, si tu te poses la question c’est que t’es pas prête. Crois moi que, quand tu seras prête, tu le sauras, ça sera dans tes tripes, un besoin sans nom, tu sauras direct à ce moment que tu VEUX un enfant. Quand t’es parent, c’est compliqué de conseiller quelqu’un dans ce domaine car nous meme on ne sait pas ce qu’on veut. On les aime plus que tout mais il nous arrive d’envier les célibataires sans enfant libres comme l’air 🤣 Quand t’as un enfant, ton 2eme prénom est « Contradiction » 🤣 C’est jamais comme on l’espère, c’est plein d’imprévus mais c’est comme ça la vie, on improvise en permanence en fonction de ce qu’on croise sur notre chemin… Être parent, c’est beau, c’est fort, c’est puissant, c’est stressant mais c’est surtout beaucoup d’amour. Je sais pas si tu en auras un jour (j’ai pas de don de voyance désolée) mais si tu deviens maman un jour, je sais que tu seras la meilleure des mamans, que ton enfant aura un super exemple, que vous formerez une équipe de choc et que malgré les embûches, ça sera un merveilleux voyage. Je sais aussi que cet enfant sera aimé, aura de belles valeurs et sera bien entouré, tout pour être un super petit être humain (obligé, ça pourra pas être un petit con 🤣).

    • Oh merci pour ton message ! j’ai adoré 🙂 Belle histoire qui prouve que l’instinct n’existe pas !
      En revanche, pas forcément d’accord sur le “besoin sans nom” qui fait que tu te poses même pas la question, j’ai l’impression que même si l’envie est très profonde, les doutes peuvent apparaître !
      Mais sinon d’accord avec tout, et pour le coup, avec toute l’humilité que tu me connais, je sais aussi que je serai une bonne maman (enfin je crois ahah)
      Des gros bisous à toi et ta fille !! <3

  8. Mélanie Hardy dit :

    Super podcast comme toujours ahah et pas trop long 😉
    Moi je suis tombée enceinte à 22 ans c’était bébé « surprise » et j’étais pas prête mentalement mais bébé est arrivé et j’ai appris a vouloir un enfant mais à la naissance, ma grossesse j’étais dans le déni total
    Quelques années après (6ans) je me sépare du papa et j’ai vécu du coup le rôle maman et aussi femme indépendante et j’étais pleinement épanouie car j’avais les deux
    J’aime ma fille mais j’aime cette liberté de faire ce que je veux la semaine où je ne l’ai pas …
    Aujourd’hui après 5 ans de vie célibataire j’ai retrouvé mon premier amour, il a tout quitté pour venir vivre avec nous à plus de 500kms de ses repères et le sujet enfant est souvent énoncé dans les discussions car lui rêve d’être père … mais moi… je ne sais pas ma fille va avoir 10 ans je suis libre elle est grande elle fait tout toute seule et surtout je suis bien ainsi … MAIS Monsieur a ce souhait donc je recule je recule car les questions fusent… ai -je vraiment envie? Car là j’ai pas le droit à l’erreur
    A ce jour je suis encore sans réponse et heureuse ainsi donc bébé 2 ne sera pas au programme cette année

  9. Laetitia Magalhaes dit :

    Ce sujet est hyper intéressant ! merci 🙂

    Avec mon mari on a voulu construire notre famille, donc je pense que si j’avais été seule je n’aurai pas eu d’enfants… j’avais 27 ans quand j’ai commencé à “procréer” lol malheureusement j’ai fait une fausse couche, l’année suivante étant remise, on décide de s’y remettre, car l’envie de construire une famille bouillonne toujours malgré les risques. Je tiens à préciser que pour moi la fausse couche a été comme un coup de poignard ! à ce moment là personne n’en parlait, je ne pensais pas qu’une chose aussi horrible pouvait m’arriver. Les personnels soignants pour certains ont été ignobles. J’ai compris que la maternité telle qu’on la vendait était un leurre. Je me suis sentie trahit par la société. Et j’ai pensé que j’avais fait quelque chose de mal pendant longtemps… en réalité toujours un peu, je travaillais énormément, je me donnais à fond au boulot et la fatigue était intense, je ne m’écoutais pas… bref…
    On a remis le couvert, j’ai réussi à tomber enceinte, mais avec une crainte horrible de perdre cet enfant. Manque de chance, les mauvaises nouvelles se sont enchainées sur cette grossesse et j’ai accouché d’un enfant mort né… là je me disais Putin les femmes sont des warriors, comment certaines vivent toutes ses épreuves et ne baissent pas les bras ? Il m’a fallut du temps pour m’en remettre et je n’étais plus très sure de vouloir un enfant. Dans nos projets on en voulait plusieurs, on rêvait mais on ne connaissait pas cette facette de la vie. Le couple a tenu bon et on a décidé de s’y remettre, pour moi c’était la dernière fois que je tente car je tenais à ma santé psychologique…
    J’ai réussi à re tomber enceinte, j’avais 30 ans. J’ai angoissé comme jamais, alors que tout se passait bien. Et j’ai eu ma fille 🙂 un bonheur absolu car très attendue, un bébé arc en ciel comme on dit. Et puis le post partum… pareil grosse désillusion… ce qui était vendu par la société était une mascarade… j’ai effectivement eu le sentiment d’avoir eu un processus de deuil de ma vie d’avant. On vous parle des hormones que c’est normal d’être dans un sal état etc… Que nenni, le vrai problème c’est LE MANQUE DE SOMMEIL et la place qu’octroi la société à la famille. Travailler quand on dort pas, forcément ça fait des ravages ! c’est logique. C’est débile que ça existe sans que personne ne se révolte d’ailleurs, enfin selon moi. Après cette phase de post partum difficile, c’était impeccable, dès qu’on redort tout s’arrange, on trouve un équilibre. Et j’adorais ma vie ! …
    Et puis, surprise ! c’était pas prévu et je suis tombée enceinte de nouveau. 34 ans. Là chamboulement total, j’étais prête ? pas vraiment… je vais accoucher d’ici un mois à 1 mois et demi donc j’ai pas expérimenté d’avoir 2 enfants encore lol… mais une chose est sûre j’aimerais ce petit bout plus que tout, comme ma première… Pas d’instinct maternel, juste une envie de voir sa tribu heureuse, c’est cliché, mais tant qu’on aime ses enfants tout va bien se passer, y a pas de méthodes pour réussir à un être un bon parent. Juste de l’amour 🙂
    (bon après j’arrête on ferme la boutique lol)

    Bref, certains ne veulent pas d’enfants, et c’est très bien qu’ils le reconnaissent, toutefois ne perdons pas de vu que nous sommes tous CO PARENT. J’entends par là, qu’on a tous un proche de qui on va s’occuper. C’est ce qu’on appelle aussi Proche Aidant. Le plus tard possible évidemment. Mais les galères que rencontrent les parents, sont souvent les galères de tous, la société dans laquelle on vit doit laisser plus de souplesse pour qu’on s’occupe de nos familles. Il manque d’une vrai politique familiale, adaptée aux contraintes d’aujourd’hui.

    Je te souhaite que du bonheur, porter la vie c’est une responsabilité (j’aime pas être enceinte perso, mais c’est vrai que c’est une expérience de dingue, de sentir le bébé bouger c’est le seul truc que personnellement je recommande 🙂 ) Mais on n’a pas besoin de “faire des gosses” pour être heureux. Je pense à tous ceux qui essayent et n’y arrivent pas, force à vous !

  10. Coralie Psc dit :

    Être parent quel ambiguïté !

    J’ai deux petites filles ! Perso je n’ai pas fait le deuil de ma vie d’avant au contraire je suis totalement épanouie dans cette vie.
    Je m’accorde des moments a moi, entre copines (je reviens d’un voyage a Venise avec mes cop’s …. 😅)
    Je pense que c’est vraiment un choix personnel, j’ai autour de moi avec qui j’étais d’ailleurs sont certaines de ne pas vouloir d’enfants, d’autres veulent adopter !!
    Chacun vit comme il le souhaite et c’est encore une chance que nous avons
    le choix maintenant…
    Imagine avant sans contraception avec 10 gosses..
    Bisous Nono 😘

  11. GENDRAULT Laetitia dit :

    Hello hello,
    Je n’ai pas encore reçu le Mag d’Avril, mais je suis impatiente.
    J’ai toujours voulu des enfants depuis toute jeune. Je ai eu mon seul enfant à 31 ans. J’aimerai tellement avoir un homme pour partager (oui je suis séparée du papa) et un jour en avoir d’autres (bientôt à l’aube de mes 40 ans je désespère LOL). Mais j’avoue que je savoure pleinement l’éducation que je donne à mon fils, et toutes les sorties qu’on peut faire ensemble : chose que je ne pourrai peut être pas faire si j’en avais plus.
    Il est vrai que lorsque tu deviens maman, tu ne vis plus pour toi, en tout cas, pas seulement.
    Personnellement je ne me voyais pas faire une vie sans enfant, c’était vraiment viscéral. L’envie de porter la vie, de procréer, de créer une petite extension de l’amour de deux êtres, la seule chose qui ne pourra effacer cet amour et cette union, le fait de transmettre, d’apprendre, de faire grandir un être en lui apportant tout le meilleur de nous. Et bien sûr des erreurs seront faites, et même si ce n’est pas le cas, on sait qu’on passera sûrement par l’adolescence de nos enfants, la période où ils nous reprocheront toujours quelque chose.
    Mais je respecte ceux qui n’en veulent pas. Il faut de tout pour faire un monde et surtout respecter les choix de chacun.
    Il y a un livre super “mon big bang intérieur” de Chantal Rialland. Il nous permet d’ouvrir les yeux sur notre MOI. Et honnêtement notre façon d’être, de penser et de réagir ne tombe pas du ciel. Tout vient de notre enfance, et même d’avant de notre naissance, car la façon dont les gens nous accueillent dans ce monde façonnera le futur adulte que nous sommes en devenir. J’y ai appris beaucoup, je recommande.

  12. Justine DELANNOY dit :

    Merci pour ce podcast en effet c’est un sujet qui reviens souvent dans les repas de famille quand on est une femme et ça nous fait limite culpabiliser de ne pas en avoir.

    Chacun vit comme il le souhaite tant qu’il est heureux 🙂 on devrait déculpabiliser le fait de ne pas vouloir d’enfant .

    Merci encore pour ce podcast

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